L’endroit a ouvert il y a six ans et apparemment était a l’époque un café que distinguait son assortiment de cupcakes. Le succès de ces derniers permit apparemment un sensible agrandissement (ou serait-ce la vue?) de l’établissement qui parait s’imposer comme un haut lieu de la branchitude locale. Un statut certainement facilité par la présence de l’incontournable Lucca sur le trottoir d’en face. Comme ce dernier et malheureusement avec le même piètre résultat la carte s’inspire de l’Italie. Y aller oui, mais pour les yeux plus que pour le palais…
Là comme chez Lucca j’ai testé les salades, une option light semblant bienvenue après toutes les patisseries que je n’ai pas manqué de déguster ces premières semaines a Istanbul. Dans les deux cas l’assiette laissait à désirer: saveurs fadasses et manqué de générosité seraient-elles les tristes expressions de la world food de Bebek? Sujet a creuser dans un pays où on ne plaisante pas avec la bonne chère!
